Elephantulus myurus
Eastern rock elephant shrew, eastern elephant shrew, eastern rock sengi
Ordre des Macroscélides, Famille des Macroscélididés
Longueur totale: Environ 26 cm
Poids: Environ 60 g
Gestation: 8 semaines
Nombre de petits par portée: 1 ou 2
Alimentation: Principalement insectivore, (fourmis et termites) mais aussi matières végétales (feuilles, tiges, graines)
Prédateurs: Serpents et chouettes
Réserves où l’animal a été observé par l’auteur: Parc national des Matopos au Zimbabwe
Le macroscélide oriental est une musaraigne à trompe vivant dans des trous, cavités et fissures d’amas rocheux ou de terrains accidentés.
Il chasse en embuscade les fourmis et termites qui passent à sa portée.
Lien vers fiche IUCN. Lien vers carte de répartition géographique IUCN.
Macroscélide oriental – Parc National des Matopos – Zimbabwe
Macroscélide oriental – Parc National des Matopos – Zimbabwe
Macroscélide oriental – Parc National des Matopos – Zimbabwe
Macroscélide oriental – Parc National des Matopos – Zimbabwe
Le pelage en bas du dos du mâle grisonne et blanchit avec l’âge, ce qui vaut aux mâles dominants le surnom de dos argentés.
Le pelage du sommet de la tête du gorille des plaines est roussâtre. Ceci est une des différences avec le gorille de montagne.
Le gorille mâle impose le respect avec sa stature imposante et sa musculature très développée. Il donne cependant l’impression d’une force tranquille.
Les jeunes ne quittent pas leur mère durant 2 ou 3 ans.
Un des rôles du dos argenté est de veiller sur son groupe, de le protéger et d’y faire régner l’ordre. Noter le dimorphisme sexuel important, notamment le rapport de poids entre le mâle et la femelle qui est de l’ordre de 3.
Les liens entre la mère et son petit sont très forts. Le fait qu’elle s’occupe en permanence de son jeune explique l’écart d’environ 3 ou 4 ans entre deux naissances.
Malgré son allure imposante et sa puissance, le gorille est un animal pacifique.
Porc-épic à crête d’Afrique du Nord – Réserve de la Haute Touche – MNHN
Porcs-épics à crête d’Afrique du Nord – Réserve de la Haute Touche – MNHN
Porcs-épics à crête d’Afrique du Nord – Zoo de Bassin d’Arcachon
La population de cet animal classé en danger par l’IUCN est en déclin. Il joue pourtant un rôle très important dans la prospérité de l’écosystème dans lequel il vit et assure une ressource alimentaire essentielle pour le loup d’Abyssinie.
Ce gros rat-taupe possède des yeux proéminents sur le haut du front. Ceux-ci lui sont utiles pour détecter la présence de rapaces en vol. Le rat taupe géant d’Ethiopie passe la majorité de son temps sous terre dans son vaste réseau de galeries où il vit en solitaire.
Ces galeries cheminent sur plusieurs dizaines de mètres et sur plusieurs niveaux.
La teinte du rat taupe se confond parfaitement avec la couleur du sol environnant.
Les deux incisives supérieures sont très saillantes.
La périphérie de l’orifice de sortie est encombrée par les déchets de litière que le rat taupe a évacué.
Le loup d’Abyssinie, loup d’Ethiopie, chacal du Simien, renard du Simien ou encore cabéru est le plus rare des canidés au monde.
Cet animal est représenté par deux variantes géographiques. Canis Simensis simensis au Nord Ouest de la Vallée du Rift (Simien) et Canis Simensis citernii au Sud Est de la Vallée du Rift (Balé). Les populations résiduelles sont isolées en moins d’une dizaine de groupes (voir carte de répartition). 
Le loup d’Abyssinie vit en meutes soudées et hiérarchisées de 3 à 18 individus. Animaux territoriaux, les loups patrouillent régulièrement aux limites de leurs territoires (5 à 15 Km2) pour entretenir le marquage de ceux-ci (dépôts d’urine et de fèces).
Son habitat est constitué des prairies Afro-Alpines où les densités de rongeurs sont importantes. Les loups d’une même meute se regroupent pour la nuit, mais ils se dispersent la journée pour chasser en solitaires.
Ils arpentent la lande à la recherche de proies (rat taupe géant dans les montagnes du Balé). Essentiellement diurne, ils sont actifs aux mêmes moments que leurs proies dont leur survie dépend. Cependant, dans les zones où les activités humaines interfèrent (Simien) le loup d’Abyssinie a tendance à devenir plus crépusculaire, voire nocturne. 
Les populations de loups d’Ethiopie sont en déclin par la réduction de leur habitat (extension de l’agriculture et du pastoralisme), les maladies comme la rage, l’hybridation avec les chiens domestiques et les persécutions humaines.
Excréments de loup d’Abyssinie.
Il est représenté par deux sous espèces. 
La femelle, plus petite, est également dépourvue de poils sur la poitrine.
Lorsque la femelle est réceptive pour la reproduction, des protubérances se forment sur sa poitrine, signalant ainsi son état aux mâles.
Le gelada, vit en bandes de quelques dizaines à plusieurs centaines d’individus.
Ces bandes intègrent plusieurs harems composés d’un mâle dominant et de trois à vingt femelles.
Dans la journée, les groupes de geladas sont à la recherche de nourriture dans les prairies . La quête d’aliments occupe environ 60% de leur temps. Ils mangent en position assise, cueillant l’herbe avec leurs doigts avant de la porter à la bouche.
Ils se déplacent en glissant sur leurs fesses, lesquelles sont pourvues de calosité faisant office de coussin.
En saison sèche, lorsque l’herbe manque, les géladas grattent le sol et retournent les pierres pour y trouver des graines, des racines et des insectes.
Les relations sociales, comme l’épouillage, tiennent une place importante chez les geladas (environ 20% du temps). Ces rituels ont lieux principalement en début de journée. En dehors de ces gestes, indispensables pour la cohésion du groupe, les geladas communiquent par des mimiques avec la bouche et les paupières. Ils possèdent également une très vaste palette de cris et de vocalises ressemblant à des soupirs et des gémissements.
Chez les tous jeunes, les relations sociales sont surtout établies sur la base du jeu.
Les geladas passent leurs nuits dans les escarpements, à l’abri des prédateurs. Ils remontent sur les plateaux en début de journée et attendent le lever du soleil avant de partir à la recherche de nourriture.
Le
L’arbre peut également servir de refuge comme pour ce mâle blessé à la lèvre supérieur, sans doute après une bagarre.
Accouplement.
Jeune gelada (la tache pectorale est déjà bien marquée).
Femelle et son jeune.
Face d’une femelle gelada. Contrairement aux babouins, le museau des geladas est arrondi et les narines sont positionnées plus hautes.
Détail de la partie inférieure de la tache pectorale du gelada mâle.
Empreintes et patte postérieure.
Le gelada possède des ongles épais et longs.
Excrément de gelada.
.
Bouquetin d’Abyssinie mâle – PN du Simien – Ethiopie 
Bouquetin d’Abyssinie femelle – PN du Simien – Ethiopie 
Bouquetin d’Abyssinie, femelle et jeune – PN du Simien – Ethiopie
Jeune bouquetin d’Abyssinie – PN du Simien – Ethiopie
Jeune bouquetin d’Abyssinie mâle – PN du Simien – Ethiopie 
Bouquetin d’Abyssinie – PN du Simien – Ethiopie 
Les lichens font partie du régime alimentaire du bouquetin – PN du Simien – Ethiopie
Comme les feuilles sèches de lobélie géante – PN du Simien – Ethiopie 
Bouquetin d’Abyssinie – PN du Simien – Ethiopie 
Mâle « reniflant » une femelle – PN du Simien – Ethiopie 
Analyse des odeurs captées par ce mâle (flehmen) – PN du Simien – Ethiopie
Redunca mâle – PN du Balé – Ethiopie
Redunca mâle – PN du Balé – Etiopie
Redunca mâle – PN du Balé – Ethiopie 
Redunca femelle – PN du Balé – Etiopie
Reduncas – PN du Balé – Ethiopie 
Le mâle flaire les excréments de la femelle, le moyen de détecter si elle est réceptive – PN du Balé – Etiopie
Céphalophe couronné – PN du Balé – Ethiopie 
Céphalophe couronné – PN du Balé – Ethiopie 
Céphalophe couronné – PN du Balé – Ethiopie 
Céphalophe couronné – PN du Balé – Ethiopie 
Céphalophe couronné mâle – PN du Balé – Ethiopie
Rat roussard d’Abyssinie – PN du Simien – Ethiopie 
Rat roussard d’Abyssinie – PN du Simien – Ethiopie 
Rat roussard d’Abyssinie – PN du Simien – Ethiopie 
Rat roussard d’Abyssinie – PN du Simien – Ethiopie
Lièvre de Starck – PN du Balé – Plateau de Sanetti – Ethiopie 
Lièvre de Starck – PN du Balé – Plateau de Sanetti – Ethiopie
Lièvre de Starck – PN du Balé – Plateau de Sanetti – Ethiopie 
Lièvre de Starck – PN du Balé – Plateau de Sanetti – Ethiopie
Nyala de montagne mâle – Environs de Dinsho – PN du Balé – Ethiopie
Nyala de montagne mâle – Environs de Dinsho – PN du Balé – Ethiopie
Nyala de montagne mâle – Environs de Dinsho – PN du Balé – Ethiopie 
Nyala de montagne femelles – Environs de Dinsho – PN du Balé – Ethiopie
Jeune mâle et adulte Nyala – Environs de Dinsho – PN du Balé – Ethiopie
Jeune Nyala de montagne femelle – Environs de Dinsho – PN du Balé – Ethiopie 
Jeune Nyala de montagne – Environs de Dinsho – PN du Balé – Ethiopie
Groupe de Nyalas de montagne – Environs de Dinsho – PN du Balé – Ethiopie
Nyala de montagne crinière hérissée – Environs de Dinsho – PN du Balé – Ethiopie 
Nyala de montagne – Environs de Dinsho – PN du Balé – Ethiopie
Excréments de Nyala de montagne – Environs de Dinsho – PN du Balé – Ethiopie
Epomophore de Walhberg au repos sous un auvent – Environs de Lusaka -Zambie
Epomophores de Walhberg au repos sous un auvent – Environs de Lusaka – Zambie
Epomophores de Wahlberg au repos – Environs de Lusaka – Zambie
Epomophore de Wahlberg au repos – Environs de Lusaka – Zambie
Epomophore de Wahlberg vu de dos – Environs de Lusaka – Zambie
Epomophore de Wahlberg se protégeant de la lumière avec ses ailes – Environ de Lusaka – Zambie
Mâle Ourébi – Sans doute sous espèce 
Mâle ourébi – Sans doute sous espèce
Femelle ourébi – Sans doute sous espèce
Femelle ourébi – Sans doute sous espèce
Couple d’ourébis – Sans doute sous espèce
Malbrouck femelle – Lower Zambezi N.P. – Zambie
Malbrouck mâle – Kafue N.P. -Zambie
Malbrouck femelle et son petit – Lower Zambezi N.P. – Zambie
Jeune malbrouck – Kafue N.P. – Zambie